De nos jours, tout le monde sait que l’air est pollué mais sait-on vraiment pourquoi ? En effet, il serait préférable de connaître la source de ce problème afin de pouvoir le résoudre. Certes, nous avons quelques idées vagues de cette source mais il reste des choses que nous ignorons. Une chose à laquelle on ne pense pas forcément, par exemple : l’air est pollué aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur d’un établissement. Le problème de pollution de l’air à l’intérieur a lui été résolu grâce à des purificateurs d’air. Qu’en est-il de la pollution extérieure qui est pourtant la plus dangereuse ? Profitons de la journée mondiale de l’environnement qui a eu lieu le 5 juin pour éclairer ce point.
Les causes de la pollution de l’air
Sur la première place du podium plusieurs causes se succèdent : les fumées des voitures, les fumées d’industries, le chauffage domestique, des centrales électriques et les gaz issus des volcans, sols ou feux de forêts. La plupart des causes proviennent de l’humanité (émissions anthropiques) mais certaines sont naturelles et sont donc encore plus difficiles à réduire. Que la pollution soit naturelle ou humaine elle agit toujours négativement sur la santé de l’Homme ainsi que sur celle de tout autres êtres vivants sur la planète. C’est pour cela que nous devons tous, un par un, agir à notre niveau afin de réaliser un changement global. Les composants nocifs de la pollution de l’air sont nombreux, par exemple il y a les COV (Composés Organiques Volatiles), les vapeurs diverses, les agents allergènes, les éléments organiques circulant dans l’air ou encore les diverses fumées et odeurs. Le danger de ces éléments est qu’ils réduisent le taux d’oxygène dans l’air. Résultat, ils nuisent au bien-être et à la santé en général. Mais alors d’où proviennent ces substances chimiques ? Pour résumer, quelques facteurs sont catégorisés :
• L’agriculture
• Les industries
• Les transports
• Les déchets
• Les ménages
• Les causes naturelles telles que les éruptions volcaniques, le pollen, les poussières, les tempêtes de sable…
Les États eux aussi ont leur part de responsabilité et offrent des aides afin que les foyers puissent réduire la pollution dans toutes ses formes. La pollution domestique peut être elle aussi causée par différents facteurs :
• Combustibles fossiles, bois et autres à base de biomasse pour la cuisine
• Chauffer l’habitat
• Éclairer le domicile
Les améliorations de la qualité de l’air
Premièrement, une constatation de l’amélioration de la couche d’ozone motive à continuer ce combat. Pour les autres, la situation n’est pas désespérée, il y a une chance de combattre la plupart des pollutions atmosphériques (pollutions contaminants l’air ambiant). Des solutions efficaces existent et peuvent réduire, voire les arrêter notamment en ce qui concerne la pollution domestique c’est-à-dire la pollution émanant de l’activité des ménages.Des résultats sont visibles sur le long terme et plusieurs problèmes liés à la santé peuvent être évités si nous continuons de prendre les mesures nécessaires. Les solutions sont alors nombreuses et beaucoup d’entre elles sont envisageables mais il faudra une bonne dose de solidarité et de volonté pour atteindre les objectifs.
Pour être plus précis sur la pollution domestique, cela ne tient qu’à vous, les mesures d’amélioration peuvent être prises à n’importe quel moment et les progrès vont être rapidement visibles à votre échelle. Première action d’amélioration, le purificateur d’air qui, bien sûr sont écoresponsables, puis en aérant souvent et adoptant des plantes purificatrices vous allez permettre l’amélioration de l’atmosphère domestique. En effet, l’air que l’on respire chez soi est important pour la santé physique et mentale. En traitant la qualité de l’air de votre habitat vous pouvez respirer à pleins poumons et augmenter vos chances d’améliorer votre bien-être.
Pour les autres categories de pollution atmosphériques, on constate des améliorations dans certaines grandes capitales qui sont réalisées grâce à la suppression ou grâce au ralentissement de sources d’émissions. On note ainsi, que les concentrations de dioxyde de soufre et de plomb ont diminué ces dernières années. De même pour les concentrations de poussières et pour le monoxyde de carbone.
En ce qui concerne Maurice, l’île s’en tire bien pour le moment. D’après l’Organisation Mondiale de la Santé, Maurice se trouve en deuxième position sur le classement de la qualité de l’air dans le monde. On peut en conclure que l’air que l’on respire à Maurice reste malgré tout de bonne qualité malgré les autobus fumigènes.